Esther Laurent-Baroux est une jeune plasticienne réalisatrice. Elle anime de nombreux atelier de cinéma dans les institutions parisiennes.
Dans le cadre de Davout à Nous /film de poche /2022, elle a animé un atelier super 8 avec une dizaine de jeunes de 8 à 13 ans avec l’équipe d’animation de Double Face (Sharon Mayemba et Ketsia Diomi), coordonné par Virginie Loisel. Notre atelier a été accueilli au sein de l’association Davout -Relais.
Il a été décidé de faire une reportage sur le quartier du 20 ème (portes de Vincennes et Montreuil) avec deux caméras super 8 et un enregistreur son numérique. Après le développement des films, nous avons réalisé le montage collectivement, plan par plan, son par son, souvent avec nos voix à l’unisson. Ce fut un moment collectif instantané et très joyeux.
Le bâtiment Jacques Cartier a été investi par des artistes avec des habitants à l’intérieur comme à l’extérieur
Traversées est un parcours sur tout le R-D-C du bâtiment Jacques Cartier. Il est divisé en 5 parties.
VOGUE LE NAVIRE
Une immersion dans la vie quotidienne des habitants des Navigateurs, leurs bonheurs, leurs angoisses, leurs déceptions, leurs batailles
Zoé Avot, plasticienne étudiante
Compagnie Paris Concert
Compagnie Paris Concert
Gabrielle Henric, Plasticienne étudiante
Zoé Avot, plasticienne étudiante
Compagnie Paris Concert (Marie Ann Trân et Myriam Drosne, comédienne, Plasticienne) Phany et Océane, Habitantes-artistes, Gabrielle Henric, Plasticienne étudiante, Jean-Marie Boulet, Cinéaste, Zoé Avot, plasticienne étudiante.
VAGUE À L’ÂME
Une certaine nostalgie est supendue dans l’atmosphère, les fantômes sont tapis dans l’ombre. Les époques passent, l’incertitude s’installe.
Équipe Double Face
Association TAM art-thérapie
Cèb, musicien, photographe
Elisa Ghertman, plasticienne
Équipe Double Face
H.E.P, Marie Veillard, jardinière, Équipe Double Face, Elisa Ghertman, plasticienne, Fakele Photographe & cargo lab, Association TAM, Catherine, Birgit et karine, art-thérapeutes, Benjamin Gozlan, peintre Emanuelle Felzine, vitrailliste, Cèb, musicien, photographe, Jonathan Vacaresse, plasticien étudiant.
TEMPÊTE
Un chemin cabossé avec quelques perturbations, rages, craintes et hantises. C’est la survie.
Timanno, Plasticien
Azzedine Abou el Dahab Étudiant
Sebastian Hoyos Plasticien
Diadji Diop, Plasticien
Diadji Diop, Plasticien, Timanno, Plasticien, Azzedine Abou el Dahab Noam Belloy, étudiants en communication et arts graphiques, Sebastian Hoyos Plasticien
TUMULTE
La communauté se reconstruit, se soude pour affronter les incertitudes. Ls solitudes s’enfoncent et les départs se multiplient.
Compagnie paris concert Benoit Labourdette, cinéaste. Olivier Alibert et ses élèves de la Tannerie, Cèb, musicien, photographe.
VENT EN POUPE
Les feuilles ont disparu et les racines subsistent sous le béron. Un vent salutaire met tout à l’envers et tout s’envole vers des imaginaires inconnus.
Caroline Coppey, plasticienne
Élèves de la Tannerie
Flore Gay-Heuzey
atelier de Caroline Coppey, plasticienne
Sarah Simon, plasticienne, Aiky Radaody, président de l’USJTO et Iheb Abd el Hamid, étudiant en architecture Jolan Guernier, Stéphane Touboul, Sarah Abderrahmane, Caroline Coppey, plasticienne, Marion Davril, plasticienne et ses élèves de la Tannerie et l’équipe Double Face
LA FACADE DE JACQUES CARTIER
Les deux écoles, Nelson Mandela et Paul Langevin ont été sollicitées pour participer à des ateliers en extérieur avec les artistes Sarah Simon et Benjamin Gozlan
Atelier d’expression artistique dans le quartier Dame Blanche Nord, au 16 Rue Van Gogh.
Les ateliers d’éducation artistique et culturelle sont proposés régulièrement au public gargeois en particulier les jeunes habitants de Dame Blanche Nord, quartier en rénovation urbaine dans lequel nos locaux sont implantés depuis 2018.
Les techniques disponibles sont la photographie, la vidéo, la sculpture, le dessin, collages, peintures…
Il concerne les jeunes de 6 à 13 ans pour le groupe 1 (14H15 – 16H45 les mercredis) et depuis 2020, de 13 à 25 ans pour le groupe 2 (17H00 – 18H30 les mercredis et certains week-end).
Avant toute chose, honneur aux jeunes du quartier qui ont fait les travaux de notre local lors d’un chantier d’insertion organisé par L’OPEJ, IMAJ, soutenu par la Ville et financé par I3F.
PRÉFIGURATION
Projet : NE PAS DÉPASSER LES LIGNES, hiver-printemps 2018
Pour mettre en œuvre la préfiguration des ateliers Van Gogh dans le quartier entre avril et juin 2018, nous avons accueilli une jeune artiste Valentine Chauvet. Durant quelques mois, Valentine, artiste-stagiaire chez Double Face, étudiante en Master professionnel, Artiste intervenant: Art et action sociale, (Université Bordeaux Montaigne) a proposé un projet : Ne pas dépasser les lignes
L’équipe 2018 de Double face (Lucy Lagesse, Laury Sam et Jonathan Vacaresse encadrés par Virginie Loisel), l’a donc accompagné sur des ateliers avec la technique de fresques et croquis scotchés, d’abord à l’extérieur sur les murs et gravats du quartier puis à l’intérieur dans nos locaux. elle a travaillé sur le thème de la Ville imaginaire, projet qui s’inscrit parfaitement avec les enjeux de rénovation urbaine du quartier de la Dame Blanche, invention, destructuration, transformation.
Ci-dessus, fresque à l’extérieur puis à l’intérieur sur un mur du local et ci-dessous intervention-transformation sur des images du quartier à l’adhésif.
Lucy Lagesse et Laury Sam avant que nous nous installions dans les locaux de la Rue Van Gogh, ont arpenté le quartier et ont expérimenté les photo-graphismes
photos + plastiques transparents. Ces explorations ont permis à Lucy de découvrir la quartier, puis de s’installer provisoirement dans le local de l’opej et d’initier un atelier photo-graphisme avec les jeunes qui passent par là.
D’autres ateliers ont été ensuite proposés aux participants par chacun. Ces expérimentations plastiques ont permis aux jeunes habitants de venir régulièrement pour découvrir des techniques. Les jeunes du quartier, un peu livrés à eux-même ont tout de suite trouvé refuge aux ateliers et sont venus en nombre très régulièrement.
Atelier proposé par Olivia Funes Lastra, plasticienne, et Esther Laurent, cinéaste.
À la frontière entre sculpture, théâtre et danse et cinéma expérimental
À partir d’une multitude de tissus récoltés par l’artiste, les enfants ont imaginé des formes et figures. Ils se sont enveloppés dans leurs tissus et ont cherché des liens entre eux à partir des différents thèmes suggérés par l’artiste. Une caméra super 8 est présente pour collecter les étapes et les gestes.
Les assemblages textiles réalisés pour l’occasion sont présentés un par un, Olivia explique la façon dont ils ont été fabriqués, il représentent le matériau principal de l’expérience, presque aussi important que le corps. Il y a 8 assemblages, un pour chaque enfant. On leur explique également l’idée du film super 8 : le but est de conserver une trace sensible des moments partagés, et sera un objet à part entière (film à venir sur cette page). On commence par des échauffements en musique, pour entrer dans une ambiance de jeu.
On dispose les tissus dans l’espace pour se familiariser avec ces formes et ces textures. On forme une ronde, on se passe les tissus et chacun.e en tient un dans la main. En fermant les yeux on se demande : à quoi ce toucher nous fait penser ? On ouvre les yeux : à quoi cette couleur nous fait penser ? Puis on rassemble tous les tissus en tas et chaque enfant peut, tour à tour, se rapprocher et en choisir un qui sera présenté à la caméra.
Après avoir choisi l’œuvre textile de son choix, les artistes leur proposent de les porter, à la manière de vêtements : faire des nœuds, se l’enrouler autour de nos ventres, c’est comme un déguisement, comme une deuxième peau. Les enfants choisissent comment mettre les tissus assemblés sur leurs corps et quand ils seront prêts, chacun pourra choisir une place dans l’espace pour être vu par la caméra, et en ayant conscience que les autres enfants puissent aussi être vus par elle. Chaque dix secondes les enfants changeront de place, pour que tout le monde soit écarté mais à la fois visible par la caméra.
Les enfants choisissent à nouveau une œuvre textile dans le tas. On imagine qu’on est un animal, un personnage réel ou imaginaire, sans le partager avec les autres. Au signal des artistes, les enfants deviennent cet animal ou ce personnage par une posture, une statue muette. Comment est-ce que cette créature mange ? Comment est-ce qu’elle dort ? Comment marche-t-elle ? C’est du mime. Chaque dix secondes on clappe pour changer de mot et de posture, la boucle devient de plus en plus rapide. La caméra filme la boucle des statues muettes.
Les enfants se mettent en cercle et se passent les œuvres textiles et leur donnent une nouvelle forme à chaque fois que le tissu est dans leurs mains… Maintenant les enfants portent une œuvre textile sur leur corps et le cercle s’agrandit. Chaque enfant va « parler » avec son voisin, sans mot et sans son. Ainsi chaque enfant répétera à sa façon le geste de son voisin et en inventera un nouveau à donner à celui qui est à côté de lui. La caméra vient au milieu de la ronde et filme la séquence.
Les enfants utilisent des carrés de tissu pour se joindre les mains en ronde et s’emmêler entre eux. Une fois tous les enfants emmêlés, ils devront maintenant se démêler sans lâcher le tissu. La caméra filme de l’extérieur les enfants emmêlés et puis les enfants dans une ronde démêlée. Pour finir l’atelier, nous proposerons aux enfants de dessiner collectivement l’arbre où tous les animaux se retrouvent, avec les tissus portés pendant les séances précédentes. Ils pourront les étendre par terre pour ainsi dessiner un arbre en commun.
Ateliers – éducation à l’image, audiovisuel, arts plastiques
à destination des enfants de 6 à 13 ans
Les ateliers se déroulent les mercredis de 14H00 à 16H45 partir de 6 ans ( arts plastiques) aux Ateliers Van Gogh, 16 rue Van Gogh dans le quartier de la Dame Blanche Nord.Différentes techniques sont abordées tout au long de l’année – sur inscription / Gratuit + adhésion association 6€ par enfant, 10€ par famille (2 max) pour l’année de mi septembre à juillet.+ sessions vacances.
Artistes-intervenants Virginie Loisel, Heartiste (pochoirs), Zoé Avot (fresque murale), Gabrielle Henric (fresque collage), Seth One (graffitis et fresque)…
Avec les volontaires en service civique , Kheira bouzeghti, 20 ans et Maryam Bouchelaghem, 18 ans, bahelière, toutes deux en recherche professionnelle. jusqu’en juillet 2020 puis à partir de septembre, Ines Tahi, 22 ans, étudiante en césure avant un master de sociologie, Zoé Avot, 22 ans, étudiante en 4ème année à l’école Nationale supérieure d’Art de Cergy-Pontoise et enfin, Salma Boumériane, fraichement bachelière sans solution sur parcoursup.
Ateliers photo– Régulièrement le groupe des adolescents de l’atelier Van Gogh arpente le quartier en reconstruction et prélève les étapes des démolitions et modifications des rues et des bâtiments.
Avant
pendant
Après
La friche de l’immeuble de la rue Corot
Composition collages
à partir de séries de prises de vues des friches et terrains vagues laissés par les démolitions, les jeunes photographes ont proposé des panoramas avec quelques ajouts de poscas colorés.
Chroniques collectées pendant la transformation urbaine
Le quartier dit de la Dame Blanche Nord ou Zone 4 est le dernier des quartiers de Garges-les-Gonesse à bénéficier d’une rénovation urbaine. Ces chroniques sont de petits récits qui prennent forme avec les moyens de la photo, la vidéo et des ateliers d’écriture. Ce projet à multiples entrées propose à des habitants du quartier de participer à une réalisation audiovisuelle ou photographique dont l’objet est de faire le portrait du quartier Dame blanche Nord en devenir.
L’atelier Image & Sons est ouvert aux d’habitants désireux de co-réaliser un film ou participer à une oeuvre collective sur un thème personnel qui se déroule au coeur de la rénovation urbaine.
Thématiques : Relogement-Vie quotidienne- Les lieux de références du quartier, histoire des associations actives ou passées, mémoire du quartier, Ville du futur, Éco quartier, parcours individuel, avenir, souvenirs, perspectives du quartier, lieux emblématiques, imaginaires, parabole, humour, talents, jeu, légendes, promenade, intrigue….
À la demande du bailleur social PARIS HABITAT, DOUBLE FACE est installé au local associatif de la cité Villiot, 19 rue Villiot, 75012, pour un atelier de quelques jours pendant les vacances scolaires.
les enfants qui viennent dans notre local mis à disposition sont âgés de 6 à 15 ans >> Ateliers gratuits : Prochains ateliers, Février, avril, juillet octobre 2021
Objets recyclés et réinventés / 2017-2018
avec Lucy Lagesse, Laury Sam et Jonathan Vacaresse
L’atelier sculpture a démarré s’est construit durant l’année 2017 et développé en 2018 avec l’intention de prêter attention aux objets que nous jetons et qui peuvent être parfaitement recyclés dans une démarche créative. Nous avons récolté des objets que l’on stocke ou que l’on jette sans réfléchir à un réemploi grace à notre partenariat avec Emmaüs Coup de main qui a mis à disposition son hangar de stockage porte de la Chapelle. Des milliers d’objets étaient stockés là et représentaient un potentiel inespéré pour notre atelier. Des fragments, de vieux ustensiles de ménage, de bricolage, de cuisine, des jouets…etc…
Le recyclage de ces rebuts a permis aux enfants de jouer avec l’imaginaire. Nous avons mis à leur disposition des matériaux et outils afin de créer un univers à partir d’une thématique proposée. ainsi ils ont créé des accessoires pour réaliser des portraits, créé une « forêt électrique », proposé des architectures en forme de cachettes ou de petites cabanes à trésor.
La forêt électrique (pâte à sel, câbles électriques, scotch, laine, ficelle, papiers et feutrine)
Construction de petites maisons-cachettes (Argile, fil de fer, ficelles et objets trouvés)
BLASONS / 2016-2017
avec Eden Tinto Collins et Carla Magnier
Les jeunes participants de la cité Villiot ont imaginé un blason de leur propre histoire, réelle ou inventée. Accompagnés d’Eden Tinto Collins et de Carla Magnier , étudiantes à L’ENSAPC, ils ont rédigé un texte puis croqué et réalisé leur composition textile.
Exposition Fils d’avril / 2014-2015
le samedi 18 avril 2015, l’exposition s’est déroulée l’après midi en partenariat avec l’association Soleil, strataj’m et l’amicale des locataires. Un studio photo était proposé dans le local pendant la fête.
Dans le cadre du projet en partenariat avec l’association La Case rallye des solidarités 2018 et 2019, l’association Double face a proposé une exposition de sculptures que nous avons définies comme des talismans. Ces objets nous ont été inspirés du travail de notre volontaire en Service civique, Jonathan Vacaresse, étudiant à l’ENSAPC (Paris-Cergy). Ses volumes s partir de branches et de laine s’apparentant au travail de l’artiste Judith Scott, sont apparus comme un geste artistique qui pouvait fédérer les participants du Rallye des solidarités organisé par l’association La Case.
Ces objets singuliers peu à peu créés par les collégiens et écoliers de Villiers-le-Bel se sont chargés d’affects et de magie protectrice. Ces sculptures ont été installées dans trois clairières du bois du Champs-des-possibles, un espace préservé et naturel de Villiers-le-Bel vers le quartier Puits de la Marlière. Voici une sélection de cinquante d’entre eux accompagnés des vertus ou protection que les enfants et les adolescents leur ont donné.
Souvenir de mon école, une enquête visuelle et sonore sur l’évolution des écoliers à travers l’environnement et les objets.
Ce projet est né du souhait de fédérer les expériences, les savoirs-faire et les besoins de trois associations : Arpavie, Délidémo et Double Face.
La première est un établissement médico-social, accueillant des personnes âgées valides et autonomes de plus de 60 ans, la deuxième, une association dont l’objet est de promouvoir l’accès à la lecture pour tous et enfin la troisième, c’est double face qui élabore des actions artistiques, culturelles, pédagogiques et éducatives vers un public plutôt jeune. Ce projet est donc l’idée de réunir une action d’éducation artistique pour de jeunes enfants dans le cadre scolaire (une classe de CP) avec une action autour de l’écriture et du livre qui engage les résidents d’une Résidence Autonomie sur un projet-mémoire.
L’objet est de créer des ponts, de tisser des liens entre deux établissements du quartier Vallée de Fécamp (Paris12 eme ) que tout oppose. L’enjeu de « Souvenirs de mon école » a su favorisé la lutte contre l’isolement en effacer leur sentiment d’inutilité tout en célébrant le vivre ensemble. Nous pensons que valoriser la vieillesse dans notre société, en l’associant à la sagesse et la transmission est la meilleure manière de développer l’écoute, la curiosité et le respect chez les jeunes enfants. Les séniors se retrouvent acteurs de leur vie à travers un récit qui capte l’attention des petits, cette relation créera un lien fondamental, celui d’être vivant et de valoriser ses expériences et ses émotions.
Un cahier de bord a été édité pour retracer l’expérience en octobre 2018 :
Préambule : La lettre des enfants adressée à leur correspondants
Pour mettre le pied à l’étrier, les enfants âgés de 6 ans de l’école de la brèche aux loups ont envoyé aux résidents des Solanacées un diaporama avec les images réalisées par leurs soins et leur environnement commenté (atelier d’écriture).
Objets réinventés, réalisation de personnages en volume avec des objets recyclés
et création d’une fiction
L’atelier sculpture s’est construit durant l’année 2017 avec l’intention de prêter attention aux objets que nous jetons et qui peuvent être parfaitement recyclés dans une démarche créative. Nous avons récolté des objets mis au rebut grâce à notre partenariat avec Emmaüs Coup de main qui a mis à disposition des objets à recycler accumulés dans un grand hangar porte de la Chapelle. Des milliers d’objets étaient stockés là et représentaient un potentiel inespéré pour notre atelier. Des fragments d’objets, des ustensiles de ménage, de cuisine, des jouets, des livres, des lampes etc…
Avec différents intervenantes Carla Magnier, Aleksandra Odzioba de janvier à juillet et surtout Aurelia Garay depuis septembre 2017, nous avons accompagné nos apprentis sculpteurs à transformer les objets en personnages de fiction avec de la pâte à modeler et du fil de fer souple.
Nous avons construit nos ateliers avec nos partenaires locaux de Paris 20 ème : l’EPDJ, Davout Relais, la bibliothèque Assia Djebar, la Cabane Davout, et Davout Relais…
Voici le lien pour découvrir les animations (2018- 2019)
Voici quelques histoires imaginées par nos jeunes participants dans les locaux de Davout-Relais
Mexipote cherche un ami par Lina
Mexipote est perdu dans la nature.
« Je cherche un abri pour la nuit ! »
« On dirait un escargophone là-bas ! «
« Salut l’escargophone ! »
« …J’ai besoin de dormir au chaud ce soir, tu peux m’aider ? »
« NON NON NON ! »
» J’ai été un peu dur quand même… »
« Reviens, Mexipote, sois mon invité ! »
Le fils de Monsterdouble parSandra
MonsterDouble recherche son fils sur le boulevard Davout
Il est très inquiet car son fils est fragile.
Il décide d’aller à la bibliothèque Assia Djebar
Mexipote lui dit: « tu n’as pas honte d’avoir perdu ton enfant ! »
Faché Monsterdouble rencontre l’escargophone qui lui explique qu’il s’est occupé de son fils
Il lui a donné une potion bienfaisante de sa spécialité
Heureux, MonsterDouble retrouve son fils, Tentaculos !
Le monde selon Dragonsawa par Tanoh
Dragonsawa es un dieu qui avait trop de Akayachi
Un pauvre homme se mit à prier pour que Dragonsawa devienne tout puissant et vienne sauver le vieux monde
Alors, Dragonsawa descendit chez les hommes pour vaincre les monstres qui hantaient la planète
Mais Dragonsawa ne maîtrisa pas sa force !
Les hommes ne survivront pas mais le monde reviendra…
Le monstre des mers par Lilia
Il était une fois un monstre qui vivait dans son jardin.
Il rencontra une dame qui pleure : « Pourquoi tu pleures ? » lui demanda t-il
« Je n’arrive pas à m’arrêter de pleurer ! » lui dit-elle
« et ça me fait pleurer encore plus ! »
« Essayes de te calmer sinon l’eau va monter de plus en plus ! »
Mais elle continua longemps…
le jardin fut immergé et se transforma en mer
Le monstre se retrouva peu à peu sous l’eau
Depuis ce temps il existe un monstre des mers qui vit caché.
Le concours de cuisine par khalil
Mexipote est heureux d’annoncer qu’un concours de cuisine va avoir lieu à Assia Djebar !!!!
Voici Les participants, que le meilleur gagne !
Horlodingo et cuistodingo préparent une bonne blague : ils vont mettre un piment violent dans leur gâteau.
Zombyboy a tout vu et décide de les dénoncer.
Félicitation à Zombyboy qui a gagné, les deux farceurs sont bien déçus.
La frontière par Nouha
Vasélia est tout le temps sur son téléphone !
Elle ne le quitte plus des yeux.
Sans s’en rendre compte, elle traversa une frontière.
« Qui va là ? qui est cette personne étrangère ? » cria Monstrofun, le président.
Les repésentants de l’ordre lui passent les menottes et l’emmènent en prison.
Vasélia emprisonnée pleure. Monstrofun est fier de lui mais poulator rit jaune.
Un soir au coucher du soleil, pendant que monstrofun boit son café, Poulator a une idée.
Il décide de délivrer Vasélia de cette situation difficile.
Il lui offre des fleurs : « viens ma belle Vasélia, partons pour être heureux loin d’ici ! »
Aliénatrice par Lina
Ce jour là, Aliénatrice et son assistant discutaient du projet de détruire le monde !
Hippotamus et le gardien des fleurs les surprirent : « qu’est-ce que vous mijotez encore ? »
Aliénatrice foudroya Hippotamus pour le neutraliser
Mais le gardien des fleurs jeta à son tour un sort à sa rivale.
Elle perdit tous ses moyens : « c’est bien fait ! »
Lucy se sent seule par Fatoumata
Lucy se sent seule au café Lagny, elle cherche ses amis, Ublo et Ublette !
Les jumeaux Ublo et Ublette sont à la cabane Davout en train de jouer.
Pendant ce temps Noéla décide de venir embêter Lucy : « Alors, ma pauvre, on est toute seule ! »
« Ahahah, alors on sait pas se défendre !!! »
Heureusement les jumeaux n’étaient pas loin : « Pas touche à notre copine ! »
Sourygirl et superboy par Nouha
Dans la forêt Davout, Sourygirl découvre une plante géante qu’elle veut tout de suite prendre en photo
Malheureusement la plante est carnivore. D’un coup la plante l’a attrapée
OUF ! Superboy arrive à enlever sourygirl de cette vilaine plante
« Merci beaucoup superboy », ils sont maintenant amis !
Le combat d’escargotorche par Khalil
Escargotorche est décidé: il va combattre aujourd’hui le monstre qui a pris possession de l’esprit de la forêt et hante les bois-Davout.
À l’entrée de la forêt, il croise Aquazombie, le gardien de la forêt. « Le seul moyen de vaincre le monstre et libérer l’esprit de la forêt est de lui faire avaler une pincée de mon sel magique » lui dit-il.
Heureusement, il en avait une petite réserve sur lui, qu’il donna à Escargotorche.
Arrivé face au monstre enfin, Escargotorche pris son courage à deux mains pour le combattre.
« Tiens! Mange ça, odieux monstre, laisses l’esprit de la forêt libre ».
Aussitôt dit, aussitôt fait. L’esprit de la forêt réapparu tel qu’il était avant, face aux yeux ébahis d’Escargotorche.
Il ne put s’empêcher de le prendre dans ses bras. La forêt allait enfin redevenir belle et paisible..
Le mariage fatal par les jeunes de l’EPJD
Aujourd’hui, l’EPJ Davout fête le mariage de madame Abas-jour et Monsieur Poèle-à-frire
Les témoins sont tirés à 4 épingles : voici big-lips
voilà blue monster, quelle élégance !
Monsieur poele-frire à l’air bien gentil. Madame Abas-jour, un peu renfrognée, que se passe t-il ?
Ce jour là, un évènement inhabituel s’est déroulé à Garges …des êtres bizarres venus d’on ne sait où sont venus se poser dans l’espace public …
Ce drôle de peuple glacé s’est d’abord pavané sur la place de la Mairie devant les passants interrogatifs.
Puis ils se sont réfugiés en hauteur sur les branches nues des arbres de la ville et sont restés quelques semaines dans 3 quartiers :
LES DOUCETTES
AU ROND POINT DE L’ÉCOLE JEAN EFFEL
À LA MUETTE
Les créatures sont restées quelques semaines sur leurs branches glacées de l’hiver puis elles ont commencé à disparaître les unes après les autres jusqu’à la dernière…